"Le Pas de Merlin – Tome I" de Jean-Louis Fetjaine
Tout commence avec le conseil des rois bretons que Ryderc, le jeune monarque de Strathclyde, a convoqué afin qu’ils désignent le « riothime », le roi suprême qui mènera leurs forces unies pour vaincre les peuples ennemis, Saxons, Pictes, Angles, Gaëls et autres…
Dans la suite de Guendoleu, roi de Cumbrie, on reconnaît le prince Emrys Mirrdin, dont le cheveu noir, la frêle apparence et les talents de « barde » lui ont valu le surnom de « Merlin », le petit merle. Il est le fils d’Aldan, reine du Dyfed, qui a confié son éducation à Guendoleu.
Au conseil des rois, la reine Aldan tend le collier d’or – le « torque » – du précédent diothime, son époux défunt, à Guendoleu, au grand dam de Ryderc qui le convoitait.
Et tout s’enchaîne, embuscade, trahison, sur le chemin du retour : Guendoleu avant de mourir confie le torque à Merlin, seul survivant du piège mortel.
Blaise, le moine que la reine Aldan a chargé de protéger son fils, retrouve Merlin. Ils repartent tous deux pour un long voyage semé d’embuches, de dangers, de violence et de mort.
Blaise rejoindra la forteresse où s’éteint la reine Aldan ; le torque que Merlin lui avait confié sera repris par le traître envoyé par Ryderc, tandis que Merlin connaîtra le secret de la nuit des morts et de sa naissance, le nom de son vrai père, du pays d’Eliande. C’est ainsi que Blaise, dans le pas de Merlin, partira pour Brocéliande…
On se laisse vite emporter par le récit où se fondent épopée, poésie et conte dans la fluidité et l’aisance d’un style qui doit sa fermeté et sa précision au remarquable talent de Jean-Louis Fetjaine.
Un souffle arthurien traverse ce très beau roman où la nature somptueuse est le théâtre de chocs et de combats, de cruauté et de ruines, de passion et d’amour.
On y voit les progrès d’un christianisme reléguant peu à peu les rites druidiques ; on y retrouve le sens originel de la « Toussaint », celui d’Halloween, dans une aura de légende celtique imprégnée de surnaturel.
Vous aimerez suivre à votre tour le pas de Merlin et partager avec lui son voyage initiatique.
Dans la suite de Guendoleu, roi de Cumbrie, on reconnaît le prince Emrys Mirrdin, dont le cheveu noir, la frêle apparence et les talents de « barde » lui ont valu le surnom de « Merlin », le petit merle. Il est le fils d’Aldan, reine du Dyfed, qui a confié son éducation à Guendoleu.
Au conseil des rois, la reine Aldan tend le collier d’or – le « torque » – du précédent diothime, son époux défunt, à Guendoleu, au grand dam de Ryderc qui le convoitait.
Et tout s’enchaîne, embuscade, trahison, sur le chemin du retour : Guendoleu avant de mourir confie le torque à Merlin, seul survivant du piège mortel.
Blaise, le moine que la reine Aldan a chargé de protéger son fils, retrouve Merlin. Ils repartent tous deux pour un long voyage semé d’embuches, de dangers, de violence et de mort.
Blaise rejoindra la forteresse où s’éteint la reine Aldan ; le torque que Merlin lui avait confié sera repris par le traître envoyé par Ryderc, tandis que Merlin connaîtra le secret de la nuit des morts et de sa naissance, le nom de son vrai père, du pays d’Eliande. C’est ainsi que Blaise, dans le pas de Merlin, partira pour Brocéliande…
On se laisse vite emporter par le récit où se fondent épopée, poésie et conte dans la fluidité et l’aisance d’un style qui doit sa fermeté et sa précision au remarquable talent de Jean-Louis Fetjaine.
Un souffle arthurien traverse ce très beau roman où la nature somptueuse est le théâtre de chocs et de combats, de cruauté et de ruines, de passion et d’amour.
On y voit les progrès d’un christianisme reléguant peu à peu les rites druidiques ; on y retrouve le sens originel de la « Toussaint », celui d’Halloween, dans une aura de légende celtique imprégnée de surnaturel.
Vous aimerez suivre à votre tour le pas de Merlin et partager avec lui son voyage initiatique.
— Kate Ditchburn
Éditions Belfond
336 pages – 18,30 €
ISBN : 2-7144-3859-8