"Orcs – La Compagnie de la Foudre – Tome I" de Stan Nicholls
Tout commence pourtant par une mission classique, voire facile : la compagnie d’Orcs des Renards est chargée d’attaquer une forteresse ennemie pour retrouver un cylindre contenant un message. Apres une exaltante bataille, les Renards gagnent haut la main et s’emparent du butin. Le cylindre et une montagne de cristaux de pellucide, le meilleur hallucinogène qui soit. Trop tentant…
Quand ils sortent de leur sommeil comateux, Stryke le capitaine orc, comprend qu’ils sont en retard. Or cette faute, à elle seule, peut leur valoir une mort douloureuse. Car si les Renards combattent pour la Reine Jennesta, c’est qu’ils lui ont été vendus ! Certes, les Orcs sont nés pour se battre mais, pour cette sorcière cruelle, ils ne sont que chair à canon. Et, au moindre mécontentement, elle pratique l’élimination par la torture.
Alors qu’ils se pressent sur le chemin du retour, encore abrutis par l’effet des drogues, des kobolds en embuscade leurs tombent dessus. Meilleurs guerriers, les Orcs repoussent l’attaque mais se font piquer le cylindre ! Pourquoi cet objet éveille-t-il tant de convoitises ?
Cette fois, c’est la mort assurée aux mains de Jennesta. À moins de rapporter à leur maîtresse plus qu’elle n’en avait demandé. Commence alors pour les Orcs une étrange quête qui pourrait les amener à changer la situation même de toute leur race. Car s’ils ne s’intéressent normalement pas aux jeux du pouvoir, rien de tel qu’une menace de mort pour pousser les gens à réfléchir.
Ça c’est original : la vision du monde à travers les yeux d’un Orc ! Avec des vilains envahisseurs humains, destructeurs de la nature et complètements fanatiques !
Fantasy, combats multiples garantis, plus un soupçon d’intrigues politiques et quelques rituels de sacrifice. L’intensité de l’intrigue culmine à la fin du livre : pas de dénouement, c’est à suivre…
Le côté réflexion sur la nature « humaine » est bien présenté, mais le style narratif donne l’impression d’écouter raconter une partie de jeux de rôles. Donc à réserver aux amateurs du genre.
Quand ils sortent de leur sommeil comateux, Stryke le capitaine orc, comprend qu’ils sont en retard. Or cette faute, à elle seule, peut leur valoir une mort douloureuse. Car si les Renards combattent pour la Reine Jennesta, c’est qu’ils lui ont été vendus ! Certes, les Orcs sont nés pour se battre mais, pour cette sorcière cruelle, ils ne sont que chair à canon. Et, au moindre mécontentement, elle pratique l’élimination par la torture.
Alors qu’ils se pressent sur le chemin du retour, encore abrutis par l’effet des drogues, des kobolds en embuscade leurs tombent dessus. Meilleurs guerriers, les Orcs repoussent l’attaque mais se font piquer le cylindre ! Pourquoi cet objet éveille-t-il tant de convoitises ?
Cette fois, c’est la mort assurée aux mains de Jennesta. À moins de rapporter à leur maîtresse plus qu’elle n’en avait demandé. Commence alors pour les Orcs une étrange quête qui pourrait les amener à changer la situation même de toute leur race. Car s’ils ne s’intéressent normalement pas aux jeux du pouvoir, rien de tel qu’une menace de mort pour pousser les gens à réfléchir.
Ça c’est original : la vision du monde à travers les yeux d’un Orc ! Avec des vilains envahisseurs humains, destructeurs de la nature et complètements fanatiques !
Fantasy, combats multiples garantis, plus un soupçon d’intrigues politiques et quelques rituels de sacrifice. L’intensité de l’intrigue culmine à la fin du livre : pas de dénouement, c’est à suivre…
Le côté réflexion sur la nature « humaine » est bien présenté, mais le style narratif donne l’impression d’écouter raconter une partie de jeux de rôles. Donc à réserver aux amateurs du genre.
— Sylvie
Éditions Milady
Traduction française par Isabelle Troin pour les éditions Bragelonne
342 pages – 6 €
ISBN : 978-2-8112-0014-5
Traduction française par Isabelle Troin pour les éditions Bragelonne
342 pages – 6 €
ISBN : 978-2-8112-0014-5